Ancient Village of Barbaras in the Middle Ages
Le village de Barbaras, actif au moyen âge, ne semble pas plus exister mais on peut le trouver sur quelques cartes. Pendant le moyen âge, il y avait une route de commerce entre Avignon et Barbaras appelé le "Chemin du Barbaras". Il est décrit dans l'avant-propos d'un roman du même nom. J'essaie obtenir une copie de ce livre pour apprendre d'avantage de détails. Il me semble certainement possible que le nom de notre famille soit derivé de celui du village.
Guy Barbaras m'a envoyé un article* concernant le village avoisinant, Suze-la-Rousse. Les passages suivants mentionnent le village de Barbaras:
Guy Barbaras m'a envoyé un article* concernant le village avoisinant, Suze-la-Rousse. Les passages suivants mentionnent le village de Barbaras:
"Suze-la-Rousse...Son origine postérieure à la domination romaine dans les Gaules, ne remonte point au-delà de la seconde période du moyen-âge; elle est née d'un besoin impérieux, celui d'une protection efficace contre le pillage et l'anarchie. Suze formait une communauté ayant un conseil, des assembleés générales et des consuls...
Les redevances, les charges des habitants, les droits perçus à Suze au profit du seigneurial, sont énumérés dans une reconnaissance faite par Guillaume de la Baume... Vient ensuite le dénombremont des fiefs situés dans le mandement et non annexés à la baronie de Suze, quoique appartenant à la même famille. Le plus ancien avait nom Barbaras; c'était une riche métairie à laquelle était attaché une juridiction spéciale et distinguée embrassant les terres qui en dépendaient. Elle fut cédée en 1210 à Guillaume de Baux par le comte de Toulouse, sous la réserve de l'hommage; le haut domaine passa é Phillipe-le-Bel et de ce prince à la cour de Rome; la coexistence d'un autre fief homonyme, près de Courtaison, répand sur l'histoire de Barbaras une obscurité dont il n'est pas toujours facile de triompher. Incorporé à l'apanage de la maison de Suze, Barbaras resta tributaire de la dime en faveur des évêques de Saint Paul, d'aprés un traité conclu en 1259 par Fédide, fille de Raymond de Baux, et abbesse du monastère de Bouchet. Non loin des bâtiments d'exploitation, s'élévait une chapelle dédiée en l'honneur de Saint-Queuin, évêque de Vaison. Là fut convoquée aux derniers jours de l'an 1045 une assemblée qui eut un grand retentissement sous le nom de concile de Barbaras."
* title unknown; ISBN-2-86971-232-4Les redevances, les charges des habitants, les droits perçus à Suze au profit du seigneurial, sont énumérés dans une reconnaissance faite par Guillaume de la Baume... Vient ensuite le dénombremont des fiefs situés dans le mandement et non annexés à la baronie de Suze, quoique appartenant à la même famille. Le plus ancien avait nom Barbaras; c'était une riche métairie à laquelle était attaché une juridiction spéciale et distinguée embrassant les terres qui en dépendaient. Elle fut cédée en 1210 à Guillaume de Baux par le comte de Toulouse, sous la réserve de l'hommage; le haut domaine passa é Phillipe-le-Bel et de ce prince à la cour de Rome; la coexistence d'un autre fief homonyme, près de Courtaison, répand sur l'histoire de Barbaras une obscurité dont il n'est pas toujours facile de triompher. Incorporé à l'apanage de la maison de Suze, Barbaras resta tributaire de la dime en faveur des évêques de Saint Paul, d'aprés un traité conclu en 1259 par Fédide, fille de Raymond de Baux, et abbesse du monastère de Bouchet. Non loin des bâtiments d'exploitation, s'élévait une chapelle dédiée en l'honneur de Saint-Queuin, évêque de Vaison. Là fut convoquée aux derniers jours de l'an 1045 une assemblée qui eut un grand retentissement sous le nom de concile de Barbaras."